Selon un décret paru au Journal Officiel le 23 avril 2024, désormais, les infirmiers volontaires sur tout le territoire national pourront déclarer un décès.

Nos contraintes en matière de santé évoluent au fil du temps en fonction des changements dans nos vies et celles de nos proches. Comprendre quand et comment ajuster votre mutuelle familiale peut vous permettre de rester en phase avec ces impératifs croissants et optimiser les bénéfices que vous en retirez. Nous décryptons dans cet article les signaux qui indiquent qu'il est temps de revoir votre couverture ainsi que les démarches à suivre pour effectuer cette modification.

Le ministre délégué à la Santé et la Prévention a formulé le week-end dernier, dans une interview à la Tribune du dimanche, des annonces importantes pour valoriser la profession infirmière. La FNI salue cette volonté d’avancer mais demande d’accélérer le calendrier.

La mobilisation de la FNI ces dernières semaines ainsi que son action intense auprès de l’Exécutif, pour une meilleure reconnaissance de la profession, ont porté leurs fruits. Le ministre délégué Frédéric Valletoux a en effet annoncé dimanche dernier des avancées significatives pour la profession, qui seront inscrites dans une feuille de route assortie à un calendrier.

Le ministre a reconnu le retard de la France par rapport aux autres pays européens sur l’autonomisation de la profession. Il a notamment fait part de sa volonté de « faire confiance » à un plus grand nombre de professionnels de santé pour améliorer l’accès aux soins. Le ministre a insisté sur la reconnaissance des rôles et compétences de chacun. Le suivi de maladies chroniques et la prolongation des ordonnances, en lien avec le médecin, pourraient être confiés aux IDEL.

Frédéric Valletoux s’est ainsi engagé à la création d’une consultation en soins infirmiers avec un droit à certaines prescriptions, dans le cadre d’une loi. Il a également affirmé sa volonté de « donner du contenu » au statut d’infirmier référent, un statut que la FNI défend depuis plus d’une décennie et qu’il est urgent de mettre en place. Le ministre a également promis d’accélérer la parution des décrets pour les infirmiers en pratique avancée (IPA).

Sur la question des indus, qui constitue une source d’inquiétude majeure et de mécontentement pour les IDEL, le ministre a confirmé ce qui avait été révélé par la directrice déléguée de l’Assurance maladie, Marguerite Cazeneuve, la semaine passée. Un groupe de travail dédié sera mis en place. La FNI, qui a lancé une action de protestation « ordo-challenge » visant à adresser au médecin conseil de la CNAM toutes les prescriptions d’actes infirmiers erronées ou mal rédigées, salue cette volonté de dialogue.

La FNI participera aux travaux qui débuteront le 18 avril avec la Cnam, et qui seront menés de front avec ceux sur les prises en charges lourdes.

Enfin, Frédéric Valletoux s’est engagé sur l’ouverture de nouvelles négociations conventionnelles d’ici la fin de l’année, afin de fixer les modalités financières en lien avec les évolutions de compétences qui seront définies dans la loi. En tant que première organisation représentative des IDEL, la FNI y prendra toute sa part mais appelle le Gouvernement à anticiper l’ouverture des négociations afin de faire avancer ces deux chantiers de concert.

Chaque jour qui passe est un jour de perdu pour transformer le système de santé afin de le mettre en capacité à absorber l’explosion démographique des patients dépendants et/ou atteints de maladie chronique.

Compte tenu de l’urgence à agir pour le système de santé et pour les infirmiers libéraux, la FNI sera donc vigilante à ce que le calendrier défini soit accéléré et que les engagements pris soient respectés.

La FNI a également appelé l’ensemble des syndicats de la profession à prendre leurs responsabilités et à se mobiliser pour construire ensemble le nouveau visage de la profession infirmière en évitant les pièges de la facilité et de la surenchère qui ont conduit les médecins dans l’impasse.

Le ministre délégué en charge de la Santé, Frédéric Valletoux, est favorable à la création d'une consultation en soins infirmiers et à l'ouverture d'un droit à certaines prescriptions. Des déclarations plutôt bien accueillies chez les infirmiers.

Dans le milieu professionnel, être prêt à faire face aux situations d'urgence est primordial pour assurer la sécurité des employés. Certains secteurs d'activité, tels que le BTP, l'industrie chimique, ou la restauration sont davantage exposés aux risques d'accidents du travail. D'autres lieux, comme les établissements scolaires, nécessitent également une attention particulière en matière de premiers secours. Nous vous présentons dans cette article les équipements essentiels pour garantir l'intervention rapide et efficace en cas d'incident.

La trousse de secours, un incontournable pour tous les professionnels

Quel que soit le secteur d'activité, la trousse de secours est un élément fondamental pour assurer la prise en charge immédiate des blessures légères. Elle doit contenir notamment des pansements, compresses, bandages, ciseaux, pincettes, épingles de sûreté et solutions antiseptiques. Une paire de gants jetables et un masque de protection pour les pratiques liées à la respiration artificielle peuvent aussi s'avérer utiles. Le contenu de la trousse doit être régulièrement vérifié et renouvelé, afin d'éviter l'utilisation de produits périmés ou endommagés. Pour plus d'informations, visitez le de Securimed spécialisé dans le domaine.

Adapter le contenu de la trousse selon les besoins spécifiques

Pour certains métiers, des équipements supplémentaires peuvent être nécessaires. Par exemple, dans le milieu de l'industrie chimique, les trousses doivent inclure des antidotes spécifiques en cas d'exposition à certaines substances dangereuses. Un couverture anti-feu ou un extincteur pourraient également être indispensables en cas d'incendie.

Le défibrillateur automatisé externe (DAE), un outil de réanimation vitale

Le DAE est un appareil qui permet de diagnostiquer et traiter les arrêts cardiaques autonomement, sans intervention manuelle. Il fonctionne par le biais de deux électrodes placées sur la poitrine du patient, et délivre au besoin un choc électrique externe pour tenter de restaurer un rythme cardiaque normal. Les sauveteurs secouristes du travail sont formés à son utilisation. Facile à utiliser et extrêmement efficace quand il est employé rapidement suite à un arrêt cardiaque

Choisir le bon emplacement pour le DAE

Dans un établissement professionnel, il est primordial de placer le défibrillateur dans un endroit facilement accessible et rapidement repérable. Selon la taille et la configuration du lieu, plusieurs dispositifs pourraient s'avérer nécessaires pour garantir une couverture optimale.

La formation aux premiers secours, un atout indispensable pour le personnel

Outre les équipements de premiers secours, il est également essentiel que tous les travailleurs puissent bénéficier d'une formation adéquate en matière de secourisme. Cette dernière doit non seulement couvrir les gestes de base, tels que le bouche-à-bouche et les compressions thoraciques, mais aussi des techniques plus avancées pour gérer des situations spécifiques en fonction des risques du métier.

Le sauveteur secouriste du travail (SST), un acteur crucial

Dans certaines entreprises, il est important d'avoir au minimum un membre du personnel formé comme sauveteur secouriste du travail parmi les salariés. Ce dernier sera en mesure de porter secours à toute personne victime d'un accident du travail ou d'un malaise dans l'entreprise. La formation SST permet notamment d'apprendre à utiliser correctement les équipements de secourisme présents sur le lieu de travail, mais également de connaître les procédures à suivre pour alerter les secours externes et guider leur intervention.